à partir des créations de peinture et dessins de M. Témoin André j'ai écrit une histoire-poésie Ils étaient là, plantés devant moi . Ils étaient cinq, droits , fiers comme des rois. mais leur allure n'en était pas moins effrayante Ils s'étaient arrêtés, les uns à côté des autres . Ouh ! Leur bouclier, leur piquet, eux, effrayants ! Il y en avait un, plus petit que les autres . Tu te demandes alors : que regardent-ils ? Moi ou le vent ? Ils continuaient de regarder droit, toujours droit devant . En examinant leur tenue, je les trouvais soudain beaux. Mais d'être devant eux, n'était-ce pas sot ? Chacun avait un boubou coloré avec chacun un dessin différent. Ils tenaient leur bâton ou piquet près d'eux, ouh ! effrayant ! Soudain le plus petit m'apparut bizarre . Etait-ce un simple ou grand hasard ? Ah ! je compris, lui n'avait pas de bâton ! Etais-je en présence d'une leçon ? Mieux valait ne pas bouger . Attendre et s'expliquer ! Un homme me fit signe de m'en aller Les africans warriors voulaient passer. J 'éteignis mon ordinateur, et dit au revoir au dessinateur. |